Lancées dès la seconde moitié du XVIIIe siècle comme un nouveau topos par Jean-Jacques, locus paradoxalement amœnus aux yeux du réprouvé social, les montagnes sacrées ou maudites de la tradition classique, au sortir des troubles révolutionnaires et des guerres impériales, vont peu à peu s’offrir au regard des « étrangers » : au tourisme. L’eau dont abondent ces rochers y fut naturellement pour quelque chose ; tour à tour vecteur physique, charme de la nature, motif pittoresque et atout économique dans un milieu qui en présente assez peu, les eaux vives sont une providence montagnarde.