Nouveau numéro : Le féminin

Nouveau numéro : Le féminin n° 189

Autour du thème du féminin, des contributions de Élise Legendre (poésie), Christine Noël-Lemaitre (dans le savoir médical), Maxime Sayer (chez Victor Hugo), Valérie Chevassus-Marchionni (avec Anaïs Nin), Svetlana Tyaglova-Fayer (dans les croyances depuis le néolithique), Sylvie Peyturaux (réflexion sur l’incarnation), Marie de Gandt (le féminin des corps masculins), Mélitza Charest (le concept), Dominique Tabone-Weil (l’envie de féminin) et Ewa Lewinson (Le banquet des Empouses, d’Olga Tokarczuk).

La rubrique « Culture » présente des livres, Sur deux Héliogabale et, de Laure Murat, Relire. On trouvera deux analyses de films, Flow, Le chat qui n’avait plus peur de l’eau, de Gints Zilbalodis et L’amour l’après-midi, l’épilogue immoral du cycle rohmerien.

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À paraître : Le respect

Le numéro d’Approches de l’hiver-printemps 2025 aura pour thème « Le respect ». Il paraîtra début 2025.

La revue Approches a participé au salon de la revue 2024, à la Halle des Blancs Manteaux, du 11 au 13 octobre 2024.

Une soirée commémorera les 50 ans d’Approches le mardi 19 novembre 2024 à partir de 18h30, au Forum, 104, rue de Vaugirard, 75006 Paris. S’inscrire avant le 4 novembre par mail (revueapproches@gmail.com)


printemps-été 2023
automne-hiver 2022
décembre 2021


APPROCHES

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Aiguiser un véritable
esprit critique


Éloge de l’incertitude – à retrouver dans Approches n°184 : L’incertitude

« Ne pas savoir de quoi demain sera fait. Ou bien, apprendre à l’occasion de circonstances inhabituelles et dramatiques, qu’en réalité on ne le sait jamais, mais qu’on l’oublie, comme on oublie la plupart du temps qu’on est mortel… alors que c’est la seule certitude dont nous disposons. Nous sommes nés un jour. Nous serons morts un jour. À l’instant où j’écris je suis vivante. Tout à l’heure, demain, qui sait. »

Du toucher ou Jusqu’où je suis – à retrouver dans Approches n°183 : Le toucher

« Il y a des corps, en effet ; et il y a mon corps. Comment le sais-je ? Vraisemblablement, parce que je ne sens pas les autres comme je sens le mien, bien que, dans les deux cas, je parle de « corps ». Mais, à répondre ainsi, j’évacue seulement ce qui est en question, savoir : les autres corps en tant qu’autres, cette altérité même qui confère à ceux-ci une signification spécifique. Qu’est-ce qui me fait croire en effet qu’il y en a d’autres ? »

Camus, Des dieux de lumière – à retrouver dans Approches : Camus

« Comme l’été provençal, Camus connaît une belle vieillesse. Peut-être parce qu’il n’a jamais quitté l’innocence de l’enfance. Par un étrange comportement, la nature nous offre en automne ses plus beaux fruits ; trois fruits mûris lentement au soleil entre 1941 et 1959 tombent du ciel aujourd’hui. C’est le temps de la moisson, celui de la savouration. »



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