Nouveau numéro : L’eau

Autour du thème “L’eau”, un entretien avec Georges Vigarello par Élias Burgel (histoire) et des contributions de Dominique Tabone-Weil (psychanalyse), Georges Iliopoulos sur James Turrell (art), Rodolphe Olcèse sur Élisée Reclus (histoire), Chen Lin sur la peinture shan-shui (art), Sylvie Peyturaux (philosophie), Jean-François Campario (littérature), Éric Benoit sur Ferenczi et Michelet (littérature) et Fabiola Obame sur Joseph Conrad (littérature).

La rubrique “Culture” revient sur l’exposition de Zanele Muholi à la M.E.P., sur les derniers films de Wim Wenders, et rend hommage à Claire Etcherelli.


Approches sera présent au 33e Salon de la Revue,
les samedi 14 et dimanche 15 octobre 2023,

à la Halle des Blancs Manteaux,
48, Rue Vieille-du-Temple (Paris 4e)
gratuit et ouvert à tous

vendredi 13 (20h-22h)
samedi 14 (10h-20h)
dimanche 15 (10h-19h30)

À paraître (mi-avril) : La vieillesse

Le numéro d’Approches de printemps-été 2024 aura pour thème “La vieillesse”. Il paraîtra mi-avril.


printemps-été 2023
automne-hiver 2022
décembre 2021


APPROCHES

S’interroger

Douter
pour étudier

Rechercher

Aller à la rencontre
de l’inconnu

Diversifier les perspectives

Aiguiser un véritable
esprit critique


Éloge de l’incertitude – à retrouver dans Approches n°184 : L’incertitude

« Ne pas savoir de quoi demain sera fait. Ou bien, apprendre à l’occasion de circonstances inhabituelles et dramatiques, qu’en réalité on ne le sait jamais, mais qu’on l’oublie, comme on oublie la plupart du temps qu’on est mortel… alors que c’est la seule certitude dont nous disposons. Nous sommes nés un jour. Nous serons morts un jour. À l’instant où j’écris je suis vivante. Tout à l’heure, demain, qui sait. »

Du toucher ou Jusqu’où je suis – à retrouver dans Approches n°183 : Le toucher

« Il y a des corps, en effet ; et il y a mon corps. Comment le sais-je ? Vraisemblablement, parce que je ne sens pas les autres comme je sens le mien, bien que, dans les deux cas, je parle de « corps ». Mais, à répondre ainsi, j’évacue seulement ce qui est en question, savoir : les autres corps en tant qu’autres, cette altérité même qui confère à ceux-ci une signification spécifique. Qu’est-ce qui me fait croire en effet qu’il y en a d’autres ? »

Camus, Des dieux de lumière – à retrouver dans Approches : Camus

« Comme l’été provençal, Camus connaît une belle vieillesse. Peut-être parce qu’il n’a jamais quitté l’innocence de l’enfance. Par un étrange comportement, la nature nous offre en automne ses plus beaux fruits ; trois fruits mûris lentement au soleil entre 1941 et 1959 tombent du ciel aujourd’hui. C’est le temps de la moisson, celui de la savouration. »



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